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Sources : http://earthobservatory.nasa.gov/Newsroom/NewImages/images.php3?img_id=11263
"Human Footprint".
"Human footprint" est une analyse quantitative de l'influence humaine à la surface du globe. Dans cette carte, l'impact humain est évalué à une échelle de 0 (le minimum) à 100 (le maximum) pour chaque biome terrestre. Un score de 1 indique l'influence humaine la plus faible dans un biome donné. Cependant, parce que chaque biome a sa propre échelle indépendante, un score de 1 dans une forêt tropicale humide pourrait refléter un niveau différent d'activité humaine que dans une forêt à feuillage caduque. Les chercheurs ont choisi quatre types de données pour mesurer l'influence humaine : la densité de population, le degré de transformation des terres, l'accessibilité par l'homme et les infrastructures de production d'énergie.
Les auteurs ont aussi constaté que l'accès de l'homme par les routes, les rivières et les littoraux peut mener à plus de pollution. La présence humaine et la transformation des terres encouragent un accès accru à l'énergie fossile et l'électrique.
- La dette écologique - Empreinte de l'Homme comparée à la capacité biologique par région du monde - UNEP/GRID - Lien
- La lumière des villes (en 2003)
Sources : http://earthobservatory.nasa.gov/IOTD/view.php?id=36008
L'intensité et la concentration des éclairages des grandes villes est un marqueur de l'empreinte humaine à la surface de notre planète. En téléchargeant l'image agrandie on peut parfaitement identifier les régions du Monde où le développement urbain est le plus accentué : les grandes métropoles et en particulier les Emirats Arabes Unis (fragment de l'image agrandie, sur la droite).
Sources : http://earthobservatory.nasa.gov/Newsroom/NewImages/images.php3?img_id=16304
Dans les zones frontières du Nord entre la Bolivie et le Brésil, la différence de politique en matière d'utilisation des terres apparaÎt nettement le long de la frontière. Dans cette image, "l'arête de poisson" est caractéristique du système d'exploitation de la forêt mis en place au Brésil : - une route entre dans la forêt depuis le fleuve, - de chaque côté de l'axe routier, des routes secondaires transversales permettent l'évacuation du bois.
Feux de déforestation pour conquérir de nouvelles terres agricoles près de la Xingu River (2001). - Image NASA Mesure du monoxyde de carbone, des feux et de la pollution de l'air en 2004 et 2005. - Image NASA |
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| Jean-Paul BERGER Site SVT - Lycée Georges Pompidou - Doubaï - Emirats Arabes Unis |
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